Souffrance au travail : un cabinet d’aide à la prévention

Il faut admettre que tout travail se traduit par une pénibilité qui le démarque du divertissement, du passe-temps. Mais lorsqu’il conduit à des conséquences psycho-sociales négatives sur le travailleur, il devient une question d’inquiétude et d’intérêt. Dans ce cas, une intervention visant à diagnostiquer et à éliminer en avance les facteurs favorables à la souffrance sur le lieu de travail devient nécessaire. Pour mieux appréhender la nécessité d’une telle action, Présence Conseil vous propose un tour d’horizon sur la souffrance au travail.

Qu’entend-on par souffrance au travail ?

Face à la difficulté du travail, les pathologies se multiplient et font du travailleur une victime et un acteur de la vulnérabilité de son organisation. En effet, un salarié souffrant de stress, d’addictions, de problèmes de santé physique et psychique ne peut qu’affecter la cadence de l’entreprise et sa santé économique.

En parlant de souffrance au travail, on entendra l’ensemble des malaises psychologiques causés par les conditions « inconvenantes » de travail. Le caractère inconvenant de ces conditions peut paraître subjectif au-delà des exigences légales en matière de santé et de sécurité sur le lieu de travail. C’est pour ainsi dire que les problèmes émotionnels personnels ajoutés à une période de stress générale dans l’entreprise peuvent exacerber le mauvais état mental du salarié.

Les signes avant-coureurs de la souffrance au travail

La souffrance au travail trouve son origine dans un ensemble de conditions liées aux moyens et méthodes de travail. Les exigences du travail, l’autonomie décisionnelle, le manque de soutien social, le sentiment de déséquilibre entre le rendement et la rémunération, les pressions et les relations tendues entre collègues et hiérarchie, de même que les sentiments personnels accentuent la détérioration de la santé mentale des employés.

Cette détérioration se manifeste très souvent par des signes tels que :

  • la démotivation du salarié ;
  • les accès de colère ;
  • la désorientation vis-à-vis des objectifs de l’entreprise ou de ses tâches ;
  • les troubles du sommeil ;
  • l’hypertension ;
  • les addictions aux substances psychoactives ;
  • les douleurs musculaires ;
  • les problèmes gastriques ;
  • etc.

Détecter les signes de la souffrance au travail n’est pas forcément chose facile. Cela suppose un auto-suivi de la part du salarié ou de son entourage direct. Parfois, seulement l’intervention d’un médecin du travail le permet. Les personnes atteintes développent également des signes compensatoires indirects comme la pratique excessive du sport, la volonté de changer d’emploi.

La souffrance au travail peut être passagère ou s’étendre sur une longue période. Au cours d’une période où le rythme de travail varie par exemple, un malaise ne suffira donc pas à dire qu’il s’agit d’une souffrance à long terme. Un regard professionnel est mieux indiqué.

Souffrance au travail : vers qui se tourner ?

Lorsque les symptômes de la souffrance au travail se multiplient chez un individu, sa réaction, c’est d’abord sortir du déni puis consulter le médecin du travail. Ce professionnel est mieux outillé pour indiquer si ces symptômes sont passagers ou s’ils sont durables. Selon son diagnostic, le médecin du travail suggérera la consultation d’un praticien spécialiste qui indiquera le traitement convenable selon le cas.

Mais en tout état de cause, il est préférable de prendre des mesures en amont.

Les mécanismes préventifs face à la souffrance au travail

En cas de souffrance au travail d’un collaborateur, le manager d’une organisation voit sa responsabilité morale et pénale engagée. La panacée se trouve dans la prévention par l’intervention principalement de psychologues, de sociologues ou de psychiatres. La mise en place d’un mécanisme interne de soutien prend également en considération un programme de sensibilisation par des ateliers, que fournit Présence Conseil, spécialiste de la prévention de la souffrance au travail.

Le tout se base sur une méthode d’observation, d’auto-évaluation dans l’entreprise qui permet aux salariés de révéler par eux-mêmes leur besoin en soutien psychologique. Les activités d’exercice périodiques qui sont ensuite déployées en atelier théorique et pratique permettent d’améliorer les situations de travail. Tout devient plus simple puisqu’il ne sera plus question de gérer les crises, mais de les éliminer en avance. Le manager bénéficie également d’un soutien personnel pour corriger les pratiques managériales à risque pour son organisation.

En somme, la souffrance au travail est la résultante de plusieurs facteurs liés aux conditions de travail et aux émotions. Même si elle peut avoir un caractère subjectif, il met l’entreprise et son manager dans une posture de vulnérabilité. Il est idéal de le prévenir à travers un programme périodique traduit en ateliers théoriques et pratiques. À cet effet, l’expertise d’un cabinet conseil RPS est à privilégier.

Nous vous accompagnons dans la mise en œuvre d’une stratégie de qualité de vie au travail en appréhendant

au sein de votre entreprise les enjeux liés aux risques psychosociaux (RPS)

 

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